Les zones a faible émission font leur début dans les métropoles tel que :
la Métropole de Lyon ;
Grenoble-Alpes-Métropole ;
la Ville de Paris ;
la Métropole du Grand Paris ;
Métropole d’Aix-Marseille-Provence ;
Métropole Nice-Côte d’Azur ;
Métropole Toulon-Provence-Méditerranée ;
Toulouse métropole ;
Montpellier-Méditerranée Métropole ;
Eurométropole de Strasbourg ;
Métropole Rouen-Normandie.
L’objectif des ses zones est de réduire les émissions émis par les véhicules trop polluant et ainsi la fin des diesel en 2026 pour Lyon par exemple.
La flambée des prix des carburants
Les prix des carburants vont de records en records depuis le début de l’année et, pour la première fois, le gazole a dépassé les 1,60 euros le litre, poussés par un prix du pétrole en hausse. Et la situation ne devrait pas s’améliorer. La flambée des prix des carburants risque de se poursuivre, tant les tensions sur les marchés de l’énergie restent vives.
La reprise économique mondiale fait grimper les prix des carburants. Le litre de gazole a augmenté de 12% depuis le début de l’année et le sans plomb 95 de 16%.
Le prix de ces derniers flirtent avec les records d’octobre 2018, naissance du mouvement des gilets jaunes.
L’augmentation de ce prix s’explique par le fait que le baril de pétrole est assez élevé (88 dollars) mais surtout du fait que les taxes de l’état sur le carburant ont augmentés de 20% ces 10 dernières années, sachant que 2 tiers du prix du carburant est constitué des taxes de l’état. Dernière raison, nous payons le pétrole en dollars, il a lui aussi augmenté de 15 centimes depuis 2014 ce qui a un impact sur le prix final des carburants.
Rien ne va plus pour les constructeurs français. En octobre 2021, les chiffres du marché automobile continuent de s’effondrer, alerte le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA) dans un rapport publié lundi 1er novembre. Selon cette étude, le marché français a baissé de 30,7 % sur un an en octobre, un effondrement qui frôle les 40 % si on compare avec les chiffres de 2019 (- 37,3 %).
Depuis le mois de juin 2021, le marché est en baisse constante malgré un début d’année en nette progression par rapport aux premiers mois de 2020, plombés par le Covid. « Les effets du ralentissement des commandes et des retards de livraison liés à la pénurie de semi-conducteurs s’accentuent », a commenté le cabinet AAAdata.
Stellantis, fruit de la fusion de PSA (Peugeot, Citroën, DS et Opel) et de FCA ( Fiat, Jeep, Alfa Romeo…), reste à la première place en octobre avec 34,5 % du marché des véhicules particuliers, un périmètre excluant les utilitaires, mais le groupe a perdu près de 4 points de part de marché avec des immatriculations en baisse de 37,6 % en un an.
Le marché de l’occasion est lui aussi en baisse sensible en octobre (- 13,3 %), mais il « continue d’évoluer à des niveaux records depuis le début de l’année, avec une hausse de 9,6 % sur dix mois et plus de 5 millions de transactions », selon AAAdata. Les modèles les plus anciens, de 10 ans et plus, comptent pour 44 % de ce total.
Conseil sur l’achat d’un véhicule !
L’idée d’acquérir un nouveau véhicule a émergé, mais vous ne savez par forcément par où commencer. Voici quelques petit conseil utile :
Premier réflexe, définir un budget :
Prix d’achat
Frais d’entretien et de réparation
Carburant
Assurance automobile (plus chère que sur une voiture d’occasion)
CARBURANT : LEQUEL CHOISIR ?
Une voiture neuve à essence est parfaite pour les déplacements courts, mais réguliers. En revanche, un véhicule diesel coûte plus cher à l’achat, mais il consomme moins de carburant. Ce modèle est à privilégier pour ceux qui parcourent plus de 15 000 km par an. Quant aux conducteurs soucieux de l’environnement, l’idéal est de choisir une voiture hybride ou électrique.
Pour trouver les meilleures offres, il faut penser à :
Acheter sa voiture neuve auprès d’un mandataire
Faire jouer la concurrence pour ceux qui préfèrent acheter chez un concessionnaire
Négocier le prix des équipements optionnels (autoradio haut de gamme, système GPS, barres de toit, etc.)
Attendre la bonne période comme août, septembre et ou janvier lorsque les ventes sont en baisse.